La mesure de l’étanchéité à l’air des bâtiments consiste à mettre ceux-ci en surpression ou en dépression (entre 10 et 100 Pa environ) au moyen d’un ou de plusieurs ventilateurs. Elle permet ainsi de déterminer le débit d’air qui traverse l’enveloppe de ces bâtiments en fonction de la différence de pression engendrée. Le principe de cette mesure est décrit dans la norme NBN EN ISO 9972 qui remplace depuis peu la norme NBN EN 13829.

Une étanchéité à l’air correcte et une bonne isolation thermique permettent de réduire les déperditions thermiques des fenêtres et, par conséquent, d’augmenter leurs performances énergétiques et le confort des occupants. Il faudra agir sur le châssis ou sur le vitrage, selon que l’on souhaite améliorer respectivement l’étanchéité à l’air ou l’isolation thermique.

L'accessibilité fait également partie des performances attendues d'un bâtiment. Cette contrainte est parfois difficilement conciliable avec d'autres exigences telles que le niveau du seuil de la porte d'accès au bâtiment. Des adaptations doivent être prévues afin d'éviter une diminution de l'étanchéité à l'air, l'apparition de ponts thermiques ainsi que la création d'un raccord non étanche à la pluie. Trois études de cas ont été analysées : la porte d'accès d'un rez-de-chaussée, la porte menant...

Il y a peu, les performances exigées d'un bâtiment se limitaient encore à la stabilité, la durabilité et à l'étanchéité à l'eau. Ces dernières années, les critères performantiels se sont multipliés aussi bien dans les réglementations que dans les cahiers des charges afin de satisfaire les exigences environnementales, économiques et sociétales.

Cet article traite d'une technique basée sur l'utilisation de panneaux à base de bois dont les jonctions sont rendues étanches.

Les réglementations PEB régionales imposent des exigences portant sur les performances thermiques des toitures à versants. Au-delà de la caractéristique thermique intrinsèque de la toiture, l’isolation thermique de celle-ci aura également des répercussions sur le niveau d’isolation thermique global du bâtiment ainsi que sur ses performances énergétiques. Par ailleurs, le confort des occupants et les performances acoustiques de la toiture sont eux aussi influencés par cette isolation.

Les couches d'isolation placées dans les planchers et les murs creux étant de plus en plus épaisses, ceci entraîne des écarts de niveaux pouvant entraver l'accessibilité. Des problèmes d'humidité peuvent survenir en diminuant l'écart entre le revêtement intérieur et le revêtement extérieur. Cet article explique comment éviter les infiltrations sans compromettre l'accessibilité.

Les réglementations PEB régionales imposent des exigences visant à limiter le risque de surchauffe dans les habitations neuves. Pour l’instant, il n’existe aucune exigence similaire pour les autres types de bâtiments, tels que les immeubles de bureaux. Le risque de surchauffe est évalué conventionnellement par unité d’habitation et ce, au moyen d’un calcul basé sur les données relatives à l’enveloppe du bâtiment.